|
|
|
|
|
Fuir
15/05/2007 17:24
Que je ferme les yeux et m'en aille à jamais... Que Dieu m'attire vers le ciel désormais... Mon corps et mon âme sont trop meurtris, Pour cause de tous ces petits et mauvais esprits, Qui m'entourent dans ma vie chaque jour, Qui s'amusent à me blesser pour toujours... Je veux m'évader, je veux partir, Fuir cette terre de feu qui me fait souffrir...
| |
|
|
|
|
|
|
|
La comédie de ma vie
15/05/2007 05:33
Ecrasée par les douleurs et les peines, Son âme pleure et son coeur saigne. Mais que doit-elle faire, Pour survivre dans cet enfer ?
Perdue dans ce monde féroce, Elle trouve encore la force Chaque jour, de se mettre en scène Et de jouer son rôle de comédienne...
A-t-elle vraiment le choix aujourd'hui... Dans ce monde où règne l'hypocrisie... Où sont la gentillesse et la sensibilité ? Tout ce qui fait sa personnalité...
La comédie de cette vie... Le drame de ses nuits... Elle ne peut faire voir ses faiblesses Mais seule, elle montre sa détresse...
| |
|
|
|
|
|
|
|
À coeur nu
08/05/2007 18:30
Je caresse ta porte du bout des doigts Elle s'ouvre sous la pression de mes pensées Les battements de mon coeur affolés étouffent la plainte de cette entrave de bois Mes yeux te cherchent dans la lumière dorée même aveugle je saurai bien te trouver.
Ton long corps abandonné sur le lit ambré et chaud, parle entre ombres et lumières murmure ta passion, ta soif et ta fièvre Le parfum de ta peau noie mon esprit Toute mon âme est suspendue à tes lèvres je glisse avec délice dans cet enfer.
Je t'aime dans mes nuits, aujourd'hui ! Tu habites dans mes bras, en moi, dans mes rêves, sans cesse et sans trêve, Je t'aime dans mes jours, là, ici ! Tu marches près de moi, dans mes pas. Tu es ma vie, mon sang, ma séve,
Etendus, dévêtus, repus, le Coeur à Nu !
| |
|
|
|
|
|
|
|
Instant
08/05/2007 05:15
La vie ne dure qu'un très court instant ; une vision qui se pose sur le temps aussi brêve, que ta respiration qui me donne toute mon inspiration...
Elle éclaire juste le temps d'un orage qui tempête, à l'heure de son passage, et emporte le long de son rivage, le bonheur juste le temps d'un mirage...
Elle s'écrit et ouvre le paragraphe, de la strophe, au dernière épigraphe, par des mots, plus tranchants qu'un rasoir, dit c'est quand, la fin de cette histoire....
Puis, ils germent de ma plume ces pensées dont ils restent ces quelques maux marqués dans mon coeur pour ne pas oublier que la vie est bien trop vite passée.....
Pour qu'enfin s'épanouïsse la fleur exhalant les parfums du bonheur à l'esprit d'une éphémère pensée qu'on aimerait ne jamais voir fâner
| |
|
|
|
|
|
|
|
Une tranche de vie
08/05/2007 05:06
J'ai mis une tranche de vie en texte, ce que j'aime ce que déteste, de simples mots qui me reflètent, donnant l'image d'une silhouette.
Parfois tranchante parfois douceur, mais qui t'explique ce que je pense, de l'être humain en décadence, de mes chagrins de mon bonheur.
Mais le plus important à lire quand tu trouveras cet élixir, se trouve inscrit entre les lignes, où tu t'épanches je m'imagine....
Il abreuvera peut-être ton coeur, qui recherchait de la douceur, et naîtra en pensé une fleur, d'où éclora notre bonheur.
Qui innondera de son amour, à la douce fragance qu'il distille, nos deux êtres qui jour après jour s'épanouissent le long du fil
du temps que je veux éternel, comme ce tableau, ces aquarelles, de ce monde que j'ai dessiné, de mes mots justes pour t'aimer...
| |
|
|
|
|